Même comme témoin, vous pouvez aider à mettre fin à la violence sexuelle. Si vous êtes témoin d’un acte de violence sexuelle, prenez la parole et :
- appelez la police si vous êtes témoin d’une agression sexuelle potentielle ou d’une autre forme de violence sexuelle;
- si vous voyez quelqu’un mettre quelque chose de suspect dans la boisson d’une autre personne, prévenez la police ou le personnel du bar ou du restaurant;
- veillez à ce que vos amis rentrent chez eux en toute sécurité;
- si une personne essaie de partager des messages textes ou des photos privés qu’elle a reçus, dites-lui « non »;
- refusez de participer à des conversations dégradantes (y compris en ligne) qui perpétuent le sexisme et la violence sexuelle (et exprimez votre désapprobation);
- signalez vos préoccupations concernant le harcèlement sexuel sur le lieu travail à un superviseur ou à la personne désignée des ressources humaines et notez ce que vous avez vu ou entendu.
Restez en sécurité!
Adressez-vous aux autorités pertinentes en cas d’urgence si vous n’êtes pas à l’aise pour intervenir directement ou si vous êtes témoin d’une agression.
Il existe plusieurs façons d’aider. Alliez-vous à la cause et :
- ne blâmez jamais le survivant d’une agression;
- apportez votre soutien à toute personne qui vous dit qu’elle a subi une agression sexuelle;
- apprenez aux enfants ce que sont le consentement et les relations saines.
Visitez la page Trouver de l’aide pour obtenir une liste des organismes auxquels vous pouvez vous adresser.
Mon amie ou mon ami s’est fait récemment agresser. À quoi dois-je m’attendre?
Il n’existe pas de réaction « normale » lorsqu’une personne s’est fait agresser sexuellement. Chaque personne réagit différemment, présentant un ensemble de symptômes à des moments différents. N’oubliez pas que ce que la victime ressent est réel, et rappelez-lui que ce n’est PAS sa faute.
À la suite d’une agression sexuelle, une personne peut éprouver :
- de la colère;
- de la honte;
- de la peur;
- de la confusion ou de la désorientation;
- des problèmes d’estime de soi;
- un choc;
- un sentiment de rejet;
- un sentiment d’impuissance;
- de la détresse;
- de la tristesse;
- de la déprime;
- de la culpabilité;
- des sautes d’humeur;
- des difficultés à manger ou à dormir.
Mon amie ou mon ami m’a demandé de l’aider. Que puis-je faire?
Rappelez-vous que la réaction de la victime peut être différente de ce à quoi vous vous attendiez. Il peut être difficile de parler de l’agression en raison de l’intensité et de la gamme des émotions. Si une personne vous parle d’une agression, vous devriez :
- garder votre calme;
- être là pour l’aider;
- l’écouter attentivement, sans l’interrompre;
- éviter de poser des questions commençant par « pourquoi »;
- la croire;
- ne pas juger l’auteur des préjudices ni poser de questions à son sujet;
- la rassurer et la convaincre que ce n’est pas sa faute;
- l’encourager à obtenir des soins médicaux immédiatement;
- respecter la nature confidentielle et privée des renseignements fournis;
(Remarque : Si votre ami ou votre amie a moins de 18 ans, vous pourriez être tenu de signaler le crime à la Division des services à l’enfant et à la famille, et à la police.)
- proposer de l’aider, mais la laisser prendre les décisions;
- l’aider en vous renseignant sur les services offerts dans la collectivité;
- lui demander si elle veut signaler l’agression à la police;
- la rassurer et la convaincre que vous êtes là pour l’aider et que la guérison est possible.
L’une des choses les plus importantes pour les survivants d’une agression sexuelle est de savoir qu’ils ne sont pas seuls et qu’ils peuvent obtenir de l’aide. Chaque survivant est unique et il doit trouver les services d’aide qui lui conviennent.
Les services de counseling professionnel, les groupes de soutien, les amis et la famille peuvent tous jouer un rôle et aider le survivant après une agression.
Même comme témoin, vous pouvez aider à mettre fin à la violence sexuelle. Si vous êtes témoin d’un acte de violence sexuelle, prenez la parole et :
- appelez la police;
- si vous voyez quelqu’un mettre quelque chose de suspect dans la boisson d’une autre personne, prévenez la police;
- veillez à ce que vos amis rentrent chez eux en toute sécurité;
- si une personne essaie de partager des textos ou des photos privés qu’elle a reçus, dites-lui « non »;
- refusez de participer à des conversations dégradantes (y compris en ligne) qui perpétuent le sexisme et la violence sexuelle (et exprimez votre désapprobation);
- signalez vos préoccupations concernant le harcèlement sexuel sur le lieu travail à un superviseur ou à la personne désignée des ressources humaines et notez ce que vous avez vu ou entendu.
Restez en sécurité!
Adressez-vous aux autorités pertinentes en cas d’urgence si vous n’êtes pas à l’aise pour intervenir directement ou si vous êtes témoin d’une agression.
Il existe plusieurs façons d’aider. Alliez-vous à la cause et :
- ne blâmez jamais le survivant d’une agression;
- apportez votre soutien à toute personne qui vous dit qu’elle a subi une agression sexuelle;
- apprenez aux enfants ce que sont le consentement et les relations saines.
Mon ami ou mon amie s’est fait récemment agresser. À quoi dois-je m’attendre?
Il n’existe pas de réaction « normale » lorsqu’une personne s’est fait agresser sexuellement. Chaque personne réagit différemment, présentant un ensemble de symptômes à des moments différents. N’oubliez pas que ce que la victime ressent est réel, et rappelez-lui que ce n’est PAS sa faute.
À la suite d’une agression sexuelle, une personne peut éprouver :
- de la colère;
- de la peur;
- de la confusion ou de la désorientation;
- des problèmes d’estime de soi;
- un choc;
- un sentiment de rejet;
- un sentiment d’impuissance;
- de la détresse;
- de la tristesse;
- de la déprime;
- de la culpabilité;
- des sautes d’humeur;
- des difficultés à manger ou à dormir.
Mon ami ou mon amie m’a demandé de l’aider. Que puis-je faire?
Rappelez-vous que la réaction de la victime peut être différente de ce à quoi vous vous attendiez. Il peut être difficile de parler de l’agression en raison de l’intensité et de la gamme des émotions. Si une personne vous parle d’une agression, vous devriez :
- garder votre calme;
- être là pour l’aider;
- l’écouter attentivement, sans l’interrompre;
- éviter de poser des questions commençant par « pourquoi »;
- la croire;
- ne pas juger ni poser de questions sur l’auteur des préjudices;
- la rassurer et la convaincre que ce n’est pas sa faute;
- l’encourager à obtenir des soins médicaux immédiatement;
- respecter la nature confidentielle et privée des renseignements fournis;
(Note - Si votre ami ou votre amie a moins de 18 ans, vous pourriez être tenu de signaler le crime à la Division des services à l’enfant et à la famille, et à la police.)
- proposer d’aider la personne, mais la laisser prendre les décisions;
- l’aider en vous renseignant sur les services offerts dans la collectivité;
- lui demander si elle veut signaler l’agression à la police;
- rassurer la personne et la convaincre que vous êtes là pour l’aider et que la guérison est possible.
L’une des choses les plus importantes pour les survivants d’une agression sexuelle est de savoir qu’ils ne sont pas seuls et qu’ils peuvent obtenir de l’aide. Chaque survivant est unique et il doit trouver les services d’aide qui lui conviennent.
Les services de counseling professionnel, les groupes de soutien, les amis et la famille peuvent tous jouer un rôle et aider le survivant après une agression.